[Réparation du colonialisme] Newsletter 07/20

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Focus sur ...

Esclavage
L'esclavage est la première phase du colonialisme. Entant déjà présent aux époques précédentes, il est pendant le colonialisme qui atteint le plus grand développement. Les estimations qui concernent le numéro de personnes réduits en esclavage au cours des siècles ils varient beaucoup, mais pour la seule Afrique elles se situent entre les dix et les cent millions de gens (Joseph Ki-Zerbo (1972) Histoire de l’Afrique noire, éd. Einaudi -Turin, page 274).

Seulement dans le dix-neuvième siècle, sous l'impulsion du mouvement pour l'abolitionnisme, il viendra aboli progressivement.

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Réparation

du colonialisme

Colonialists Must Fall

Déjà dans les ans passés il y avait eu des précédents, du mouvement Rhodes Must Fall en 2015 à l'enlèvement du monument à Antonio López y López à Barcelone et à la décolonisation de certaines rues de Berlin en 2018, du déboulonnage des monuments à Pedro de Valdivia à Temuco, à Pedro de Valdivia et García Hurtado de Mendoza à Cañete et à Christophe Colomb et Francisco de Aguirre à Arica en 2019 au déboulonnage des monuments à Victor Schoelcher à Schoelcher et à Fort-de-France le 22 mai 2020. Mais ce n'est qu'avec l'explosion des protestations antiracistes suite à la mort de George Floyd que la chute des symboles coloniaux devient virale.

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La fin de l'Empire

So It’s OK to Erase Soviet Statues, but Not Western Imperialist Ones? par Finian Cunningham c'est notre choix du moment.

"... While defenders of such monuments are animated by supposedly preserving history “warts and all”, they have had no such problem about the ransacking of hundreds of Soviet-era statues in EU members Poland and the Baltic states of Lithuania, Latvia and Estonia. Since those countries joined NATO and the EU, there has been a systematic erasure of public monuments dedicated to Soviet military leaders and Red Army soldiers. The silence from Washington and Western European capitals is tacit approval for such state-sponsored vandalism. Where is the outcry to “preserve history”? There is none because the desecration of public Soviet landmarks is part of the toxic revisionist trend about World War Two and the erasure of the historic role of the Red Army in defeating European fascism...".

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